Desde Buenos Aires, buenos dias.
Internet est une chose troublante. Je viens de passer plus de 12 dans un avion, de changer de saison, de continent.
Ici, il fait 30°, on parle espagnol, les bars et les restaurants sont bondés à minuit. Les habitants des « villas » voisines, los cartoneros, sont de sortie tous les soirs en centre ville pour récupérer tout ce qui est récupérable, ils sillonnent la ville juchés sur les plateaux de camions débordants de sacs plastiques.
Dans la journée on croise des jeunes en train de promener 5, 10, 15 chiens dans les parcs de la ville. La viande est somptueuse, les glaces excellentes, surtout celles au Dulce de Leche …
Et me voilà devant mon portable en train d’écrire pour mon petit blog, comme à la maison.
Donc, pendant les vacances, la vente continue ! Très bientôt, ici donc, l’impressionnant roman de Russell James, Peindre au noir.